Comme prévu, voici le troisième volet qui fait suite à « 4 étapes pour mobiliser ces propres ressources quand on est dans une impasse » et à « Comment se sortir de la routine en 3 étapes…« . Dans ce troisième article, je vous donne des conseils pour sortir la tête du guidon, prendre du recul…, pour enfin mieux « repartir ».
Vous êtes tout le temps à fond et pourtant…pas satisfait
3 étapes à suivre pour sortir la tête du guidon et retrouver un sens à sa vie
Premièrement : Posez-vous
Si vous ne prenez plus de plaisir et de satisfaction dans ce que vous faites, c’est que vous vous êtes laissé submerger par le quotidien, même si vous êtes tout le temps à fond dans ce que vous faites.
Il faut vous « poser » afin de clarifier le sens que vous voulez donner ou « redonner » à votre vie.
Réservez vous du temps afin de pouvoir réfléchir en toute tranquillité. Je sais que ce n’est pas toujours simple d’adopter ce nouveau rythme, quand on a pris l’habitude de ne jamais « se poser » : comme tout travail sur soi, au début, vous serez obligé de provoquer cette introspection. Mais, vous verrez qu’au fil du temps, ces moments s’imposeront à vous comme un besoin. Cerise sur le gâteau, vous y prendrez énormément de plaisir.
Pour vous aider :
Il faut que vous soyez détendu. Vous pouvez pour cela utiliser la méditation, la relaxation. Si ces activités vous sont encore étrangères, utilisez d’autres moyens tels que la musique, le bain moussant, la marche etc. Quand vous aurez atteint un bon niveau de détente, posez vous la question suivante : » qu’est ce que je veux réellement dans ma vie?
« Lorsque notre vie à un sens, chaque geste que l’on pose est une source de satisfaction et d’épanouissement personnel » Jack CANFIELD
Multipliez ces moments de calme aussi souvent que possible pour vous aider dans vos réflexions.
Deuxièmement : Faites le point
Grâce à ce travail de réflexion, vous pouvez maintenant faire le point de vos activités, et des différents aspects de votre vie.
C’est ainsi que vous pourrez dresser un état des lieux de ce qui vous motive, ce qui vous motive moyennement et ce qui n’a plus d’intérêt à vos yeux.
Pour vous aider :
Pour faire l’état des lieux, vous pouvez vous aider des exemples suivants qui abordent différents domaines de la vie :
- Ma santé me satisfait-elle? Ai-je une bonne hygiène de vie?
- Suis-je satisfait de mes finances? Ma stratégie de gestion de mes compte est-elle bonne?
- Est-ce-que je passe suffisamment de temps avec ceux que j’aime? Mes relations sont- elles enrichissantes?
- Est-ce-que je m’amuse suffisamment? Mes loisirs m’apportent-ils de la satisfaction?
- Suis-je satisfait de mon poste actuel? Est-ce-que ma rémunération est en adéquation avec ce que je fais?
Pour chaque domaine, évaluez votre degré de satisfaction. Par exemple : pas du tout satisfait/moyennement satisfait/satisfait/très satisfait.
Ce travail qui doit être fait à l’écrit, vous permettra de clarifier vos désirs, vos objectifs.
Troisièmement : Recentrez-vous
Recentrez vous sur vos objectifs, vos essentiels. Référez vous à l’article suivant : « Comment se recentrer sur l’essentiel : une histoire à méditer« .
Si au fil du temps, vous vous êtes éloigné de vos objectifs, voir vous les avez oublié, relisez la deuxième étape de l’article » Comment se sortir de la routine en 3 étapes… « .
J’espère que ce troisième article vous aidera à continuer votre route avec plus de sérénité.
Très bon cheminement.
Laisser moi des commentaires sur vos ressentis par rapport à cet article . Ou en êtes vous actuellement? Ces trois derniers articles vous ont-ils été utiles?
A très bientôt.
Carine
Bonjour Carine,
Un super article, je suis contente que tu t’ai lancée.
Par rapport à cet article, personnellement, j’ai appris comment c’est important en tout cas pour moi écrire sur une feuille de papier ce que tu suggère; cela peut paraître bête car on se dit (et encore il faut q’on ose de se le dire) » mais oui, je sais exactement ce qu’il m’embête », mais ça change énormément de l’écrire.
Ce qui se passe dans la tête quand on se dit par exemple « j’en ai marre de mon boulot », le mental cherche toujours à nous sécuriser et il ajoute tout de suite, : »mais bon, il y a pire que ça » ou « bon il faut faire avec » et hop, nous sommes sortie de l’auberge. Tandis que si on l’écris : « J’en ai mare de mon boulot « , ça devient plus claire et il n’ y a pas l’échappatoire.
Enfin, c’est tout un article écrire là dessus.
En tout cas, je te met dans mes favoris,
Greta